Venu d'un agent

Julian était finalement sortit de ce carrosse pour se retrouver devant le magnifique manoir de son employeur. Celui-ci était souvent sombre quand Julian allait le rencontrer... Ils étaient deux. Le détective ouvrit les barrière, et les referma derrière lui. Le matin allait bon train, et pourtant la pluie ne semblait se calmer. Julian aimait la pluie. Cette sensation étrange que de sentir ce douce assaut venant du ciel sur sa peau était quelque chose de faste pour Julian. Cela lui retira même un petit sourire presque qu'imperceptible. Il arriva à la porte, il rentra dans le Hall du manoir sans sonner la cloche. La porte était étonnamment ouverte. Il enleva son chapeau en rentrant bien sûr.

Le détective se disait qu'il pouvait bien entrer et attendre pour son hôte à l'intérieur, puisqu'il faisait plutôt froid dehors. Il sonna la cloche après être rentrer, pour signaler sa présence à miss Blake, la domestique personnelle de Alister. Il retira son manteau, et le tint à son bras pendant quelques minutes, attendant d'être reçut par ses hôtes. Toujours aussi sévère, le regard aussi froid, le détective regarda sa montre. Il se souvenait la visite du commissaire un peu plus tôt. Puis son fils... Puis sa vie passée... Il entendit des bruits de pas qui le ramenèrent à la réalité. *Il était temps!* se dit-il.

Julian vit arrivé Aine, et la moue qu'elle fit en regardant en sa direction ne passa point inaperçu. Julian avait un peu froid, tremblé jusqu'aux os. Il sourit poliment à la dame qui venait à sa rencontre, et inclina la tête avec respect et gratitude.

«Vous pouvez prendre mon manteau, merci.»

Miss Blake l'observa un moment, pouvant voir la forme trapue et imposante de Julian, sa vieillesse prématurée, son visage ridé. Elle lui demanda de la suivre, lui dit que monsieur Carlyle arriverait bientôt, et qu'il patienterait dans le bureau. Julian, économisant sa salive, répondit par un signe de tête pour dire qu'il avait compris. Il la suivit docilement, vit son manteau se faire apporter par une serviteur. Il rentra dans le bureau richement meublé, et entendit la voix de miss Blake derrière lui. Il se retourna vers elle, se frottant les mains gelés et mouillés.

«je comprend très bien. Bien sûr vous pouvez connaître mon nom, miss Blake. Je me nomme Julian Cartwright, je suis un des "amis" de monsieur Carlyle(Julian n'osait pas tellement dire "agents", mais Aine avait sûrement compris ce qu'il voulait dire). Enchanté de vous rencontrer.»

Julian lui sourit à nouveau, puis il alla s'asseoir sur un fauteuil assez confortable à l'avant du bureau de Alister après que celle-ci ait fermé la porte. Il venait demander sa prochaine mission. La dernière avait été un succès, mais bien sûr, ce n'était pas assez. Julian regarda une horloge à sa gauche. La pendule sonnait. Tic, Tac, Tic, Tac. Le temps... Julian était du genre patient. Il devait l'être, avec le métier qu'il faisait. Quand il se regardait dans un miroir, il voyait comment le temps passait, comment les rides marquaient son visage, alors que ceux autour de lui étaient jeunes. Tic, tac, droite, gauche, droite, gauche. Son esprit dériva sur la boxe, discipline qu'il exerçait depuis déjà longtemps. En fait, il faisait l'entraînement, pas les combats. Il avait besoin de toute sa tête pour son travail, et s'il devenait boxeur, il n'aurait plus de couverture. On saurait qui il est. Droite, gauche, crochet, droite... Le temps passait, et Alister devrait bientôt arriver, sûrement. Julian soupira...

Alister entra dans son bureau d'un pas assuré et alla s'assoir dans son foteuil derrière son bureau. Il ne prêta aucune attention en premier lieu a l'homme qu'il avait évidamend reconnu.

Du tirroir supérieur droit du bureau il sortit un quelque dossier il lé déposa sur le dessus du bureau avant de s'adressé a l'agent.

- Alors, que me vaux l'honneur de votre visite...

Il le fixa froidement pendant un moment. L'homme qui était assi devant lui avait beaucoup plus d'expériance vu son age mais c'est tout de même Alirter qui était en contrôl de tout s qui touchait les affaires de la mafia anglaise... et Julian était un agent digne de confiance.

- De bonnes nouvelle peut être...

Il sourri froidement

- Jespère pour vous mon ami que se sont de bonne nouvelle... je commence a me lassé de l'incompétance de certain agents...

Il crois le bras et se calla dans son siège.

- Alros dit moi que voulez vous me dire qui mérite cette rencontre.

Julian regarda son boss arriver calmement, comme à son habitude. Julian était l'un des seul à faire son rapport directement dans le manoir de monsieur Carlyle, preuve que celui-ci avait assez confiance en Julian pour le laisser venir. Au début ne prêtant aucune attention à Julian, comme d'habitude, il se retourna et lui demanda la même éternelle question à laquelle devait répondre Julian partout où il allait. Puis Ils se fixèrent tous deux froidement. Julian avait toujours un regard froid quand il était, ou revenait, de mission. Alister était un jeune homme plutôt cruel, et très réfléchi. Puis Alister repris la parole. *Des bonnes nouvelles? Qu'est-ce qu'une bonne nouvelle?* Devant la dernière remarque de Alister, Julian demanda d'un ton calme et froid

«Si vous n'aimez pas l'incompétence de certains agents, pourquoi les gardez-vous? Au nombre d'adversaire que nous avons, je ne crois pas que nous avons droit à l'incompétence.»

Julian faisait preuve de cruauté, mais ce n'était habituellement pas son genre. Aujourd'hui, depuis la visite au cimetière, il se sentait plutôt agressif et cruel. Cependant, il ne montra en aucun cas son agressivité au boss.

«Ce qui m'amène, monsieur Carlyle, c'est ma mission, celle que j'ai complété, ainsi que la prochaine. Voilà mon rapport. La dernière mission s'est bien déroulé. J'ai eu des informations sur les activités de nos rivaux, et sur certains membres importants de la mafia Irlandaise, comme prévu.»

Julian tendit une enveloppe où les informations étaient détenues. Puis Julian continua calmement après avoir respiré un bon coup

«Je sais aussi qu'une arrivée massive de contrebande va arriver dans 2 jours au port. Vous pourrez envoyer des hommes pour aller arrêter cette cargaison d'arriver à destination. Maintenant, quel est ma prochaine mission?»

Tic, Tac, Tic, Tac. L'horloge avait à nouveau envahi le silence de son bruit mécanisé. Julian avait, comme d'habitude, rapporté plus d'informations que celles que lui avait demandé Alister(Enfin, devrions-nous dire comme à son habitude quand il réussissait sa mission bien sûr). Julian détestait le travail fait à moitié. Il avait des informations, et d'autres viendraient avec le temps, bientôt... attendit la réponse de monsieur Carlyle.

(je suis vraiment dsl pour ma longue absance mais j'ai eu pcq de travail a faire pour la fin d'étapê et j'ai pas été chez moi du temps des fêtes alors je revien aujourdhui et je mexcuse encore pour le retard)

Alister réflichi pendant un long moment a ce qu'ilallait donné a julian comme mission. Il avait parlé de contrebande... lagent qui soccupait de ce genre de chose était mort dans ce même bureau il n'y a pas plus de deux jours... alors...

- Monsieur Cartwright, étant donné que vous semblez en connaitre beaucoup de larrivage de contrebande, je vous demanderai de le supervisé vous même, un fois cette tache accompli je vous prirait aussi de rencontré un jeune femme du nom d'Aileen, je sais qu'elle fait de l'espionnage pour le conte de la mafia Irlandaise, mais j'ai l'intuission qu'elle se laisserait assez facilement acheté alors il sera en votre devoir de prendre contacte avec elle et de faire les arengements. Elle poura nous être utile, elle est très près des dirigeant de la mafia ennemie...

A se moment précis Aine entra dans la pièce tenant un plateau renpli de patisseries... Il n'en voulait aucune comme d'abutide mais peu être son invité en désirerait il...

Il leva son regard vers la servante, et comme si il ne s'était rien passé quelque minutes auparavant il lui répondit sur son ton froid abituel.

- Donné a notre invité ce qu'il désirera, quant a moi je ne veux rien alors laissé nous ensuite...

Julian écouta passivement Alister, son patron. Alors sa prochaine mission consistait à première vue à du gardiennage. Quel talent mal placé. Cela aurait ennuyé Julian, mais Alister lui confia une mission un peu plus compliqué sous les bras. Aileen... N'était-ce pas une des prostitués du «stairway to heaven»? Une mission comme celle-ci était risqué. S'il ne réussissait pas, il risquait de détruire sa couverture. Il fallait avancer avec prudence. C’était une mission plus à la mesure de Julian.

Il sera fait comme vous le demander, monsieur Carlyle. Cependant, vous comprendrez qu'il faudra avancer avec précaution dans une mission comme celle-ci, et je n'aurai sûrement pas de résultat dans les prochains mois.

Julian entendit quelqu'un entrer, et il se retourna pour voir qui c'était. La jeune servante, miss Blake, qui venait avec des pâtisseries. Alister répondit d'un ton froid et distant, et cela peina Julian. Une si belle fille, traité avec si peu de respect… bien sûr, Julian jugeait sur ce qu’il voyait, et ce qu’il voyait ne lui plaisait pas, lui qui avait un grand respect pour les dames. Mais son patron avait le droit de la traiter comme bon lui semblait, et Julian ne s’en mêlerait pas… Miss Blake se retourna vers lui et lui demanda s’il avait soif. Julian détestait le thé, et préférait largement le café ou le whisky. Ce n’était cependant pas l’heure du whisky, car pour Julian, l'alcool ne se prenait qu'au soir après 6h. Un café? Bah, pourquoi pas? Il regarda la servante, et lui fit un sourire qui se voulait poli, mais qui paru plus réconfortant que courtois.

Je prendrais bien un café, mademoiselle. Je vous en remercie.

Il la regarda d'un air pensif. Pour une raison qu'il ne comprenait qu'à moitié, cette jeune fille lui rappelait son fils, ou plutôt l'amante de celui-ci. Quelques secondes plus tard, Julian réalisa qu’il s’était mis à divaguer, comme d’habitude. Il se retourna à nouveau vers monsieur Carlyle.

Avez-vous autre chose à me dire, monsieur?

- Ca vas être tout vous pouvez disposé... et ne vous avisez surtout pas de me décevoir...

Alister se leva de sa chaise et et se tein près de Julian... Alister était plus jeune que son interlocuteur mais il n'en était pas moins imposant. Il se dégageait quelque chose d'Alister qui inspirait la peur et le respect, et ses yeux glacial avait pratiquement toujours raison des isprit les plus tenace.

- Vous me ferai rapport a chaque semaine et je veux des résultat, je ne vous envoyerait pas pour cette mission si je n'avait pas confiance en vous, maintenant cessé de perdre votre temps a boire du café et mettez vous au travail!

Alister jeta un ragard a Aine avant de quitté la pièce.

Julian sirotait son café alors que Alister se levait et lui ordonnait de disposer. Les yeux glacials de monsieur Carlyle croisèrent le regard d'acier de Julian. Le boxeur resta silencieux un moment, le temps de prendre une gorgée de café, puis répondit à Alister respectueusement.

-Bien monsieur Carlyle.

Julian savait que Alister savait se faire craindre de ses hommes qui ne voulait pas tester sa patience, qui, elle, avait la réputation d'être courte. Néanmoins, Julian était vieux, et ses années d'expériences l'avaient amené à côtoyer des tas de gars de ce genre. Il n'était pas impressionné, et il était l'un des rares à ne pas se laisser écraser par l'attitude cruelle et prétentieuse de son patron. C'était peut-être une des raisons pourquoi Julian était parmi les meilleurs et les plus respectés des agents de monsieur Carlyle. Bien sûr, il se pliait malgré tout aux ordres d'Alister, et restait très poli, puisque c'était le patron. Néanmoins, s'il y a une chose qu'avait appris Julian lors de ses nombreuses années d'expérience, c'est qu'on peut dominer un chien par la peur, mais dès qu'on a le dos tourné, il attaque. Non, Julian n'était pas ce type de chien, il était loyal. Il savait cependant que la meilleure façon de dominer quelqu'un, c'était avec le respect. Alister risquait de l'apprendre à ses dépends, malheureusement. un jour ou l'autre, un de ses hommes prendra sa place par la force, et ni monsieur Carlyle, ni Julian ne pourront faire quelque chose pour l'en empêcher. Julian finit son café alors que son patron quittait la pièce. Il prit une patisserie avant de s'avancer vers la porte. Il regarda la jeune Aine, s'inclina poliment pour la saluer.

-Merci pour le café et les patisseries, miss Blake, c'était excellent. Pardonnez-moi, mais je dois y aller. Passez une belle journée madame.

Julian sortit, alla chercher son manteau ainsi que son chapeau, qu'un servant lui tendit, puis après s'être habillé, il alla dehors. La pluie semblait s'être calmé. Julian accélèra le pas, et sourit...